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Rivière

Ma méthode

J’utilise une méthode rigoureuse, qui repose sur des éléments techniques, physiques et sur ma sensibilité de sourcier.
Deux types d’interventions sont nécessaires, complémentaires et indissociables :

    A) Première intervention : l’approche à distance

Je travaille à distance en me basant sur l’étude de cartes géologiques, hydrologiques, topographiques et d’autres documents. C’est mon approche technique. 

Je rédige un rapport complet où j’essaie de vulgariser un maximum les faits techniques, hydrogéologiques et topographiques afin de comprendre l’environnement du terrain. C’est une étape indispensable afin de maximiser les taux de réussite d’un forage.

Puis je trace, à l’aide du pendule, une estimation de passage(s) de veine(s) d’eau, s’il y a, car l’eau n’est pas présente partout ; contrairement à une idée qui a la dent dure et où l’on entend parler de nappes partout, et surtout à tord et à travers ! Le simple décryptage de cartes géologiques permet de s’en apercevoir.

En effet, cela peut paraître surprenant, irréel, cependant certains sourciers localisent à distance les passages d’eau sur plan cadastral ou vue aérienne. 
Ce qui est mon cas également. 
Les faits sont là. Mais ne demandez pas comment cela fonctionne, personne ne le sait avec précision et exactitude ! Scientifiquement il s’agit d’hypothèses et de suppositions seulement. « Tout est tout dans tout dans le champ quantique. »

Je pense qu’il y a une sorte de « remote viewing« , dont le pendule en est la visualisation materielle. C’est une technique qui fût (est) utilisée depuis la guerre froide, et dont les américains sont passés experts. J’utilise le remote viewing dans d’autres domaines…c’est une autre histoire.

Cette approche ciblée et stricte permet aussi de confirmer s’il y a ou pas des passages d’eau potentiels et éviter des dépenses inutiles au client.

L’avantage de cette méthode ? Aller à l’essentiel le jour de la prospection, directement sur le passage estimé de la veine d’eau. Etape Indispensable sur tous les terrains, et, impensable de faire autrement sur les zones jusqu’à 500 Ha sur lesquelles j’ai pu intervenir.

On ne peut plus se permettre de partir au hasard, la baguette au fusil. Aujourd’hui les niveaux des aquifères ne sont plus ceux d’antan. ​Aussi, la compréhension et l’interprétation des cartes IGN (topologie) et BRGM (géologie) est un élément majeur pour le sourcier d’aujourd’hui. 
Cela me permet de me rendre compte des pendages, des bassins aquifères, des accidents géologiques et de beaucoup d’autres points structuraux dont recèlent ces cartes. Cette étude est importante car elle permet de savoir à quoi s’attendre topographiquement et géologiquement en arrivant sur les lieux. C’est une étape que je ne néglige jamais car si tous les voyants ne sont pas au vert, ou, que les risques sont trop importants, rien ne sert de passer à la deuxième l’étape.

Carte IGN
Carte IGN
Carte BRGM
Carte BRGM

B) Deuxième intervention : la recherche sur le terrain

A partir de ma recherche à distance, je me déplace sur la propriété avec baguettes et pendule. En fonction de mon ressenti, je trace au sol les passages de veines d’eau.
Et je précise bien « mon » ressenti, car baguette et pendule ne bougent pas seuls et n’ont aucun « pouvoir ». C’est le sourcier radiesthésiste, qui, par des contractions musculaires infimes et involontaires de ses muscles, déclenche le mouvement des instruments. 

​La vidéo ci-dessous, réalisée en double aveugle avec Bernard BLANCAN, illustre bien ces propos.

C) Dernière étape de la recherche :

Je donne une estimation du débit et de la profondeur de chaque veine détectée. C’est un ressenti assez proche de la réalité (voir mes diverses interventions sur FB) ; et j’insiste sur le fait qu’il s’agit d’une estimation. Parfois l’eau peut-être plus ou moins profonde, et là, c’est la géologie qui décide.
Il est impossible aujourd’hui d’avoir une précision au mètre près, ou au litre près ! Soyons réalistes.
Je conseille sur le choix de telle ou telle veine. Puis je remets un rapport de prospection synthétique, mais clair et complet, au client et à une des entreprises de forage de renom avec lesquelles je travaille en confiance.

Bruno CAPUS Sourcier
Photo Yånnīs Sklåvøs-Ålīx

Les sourciers ont des caractéristiques physiologiques qui les rendent sensibles aux différences de champs électromagnétiques.

L’eau est un très bon conducteur électrique ; en passant dans des failles souterraines, elle s’écoule sur les roches ou sur certains cristaux, et génère des perturbations mineures des champs électromagnétiques par frottements. C’est l’électrofiltration des sous-sols, phénomène géophysique (explication). 

Le sourcier « détecte » ces différences de champs magnétiques infimes. Diverses études scientifiques viennent soutenir ces faits.

Et c’est cette hypothèse que j’ai décidé de retenir dans ma compréhension du « signal sourcier » sur le terrain.
​Cependant elle ne peut pas, à elle seule, expliquer la totalité du ressenti sourcier ; notamment pour les sources profondes, ou, en début de recherche lorsque je fais un « tour d’horizon » du terrain pour confirmer la direction de marche, et encore moins la recherche sur plan, si ce n’est le remote viewing !

Notez qu’en PACA, il est fréquent de descendre entre 40 et 300 m de profondeur. 
Nous supposons que le sourcier accède alors inconsciemment à une information quantique pour détecter l’eau si éloignée de la surface ou tout simplement sur plan.
On notera aussi que quelle que soit la profondeur, l’instrument, baguette ou pendule, réagit de manière identique ; plus exactement, le corps du sourcier, réagit de manière identique.

Baguette sourcier Bruno CAPUS
Photo Carella AlexFoto