Sourcier ?

Sourcier, ce personnage des temps jadis, atypique, arpente les terrains de campagne, ou les villes, avec sa baguette et son pendule, a toujours existé à travers les siècles. Je me plais à revivre dans les pas des Anciens en ayant apporté de la modernité, du professionnalisme et de la reconnaissance au métier.

Le sourcier est une personne sensible aux passages des courants d’eaux souterrains. On verra plus loin des explications potentielles de ce phénomène.

Les Anciens consultaient les sourciers pour creuser leurs puits. La connaissance se « transmet », certes avec moins d’ésotérisme, de mysticisme et de mystères qu’avant, mais cela reste une réalité à laquelle de grosses administrations, groupes industriels, gouvernements, autres sociétés et particuliers hétéroclites font appel.
Le ressenti sourcier, quant à lui, ne se transmet pas, et par définition, il est propre à chacun.

C’est un chemin solitaire où il n’y a pas d’école, si ce n’est celle de l’humilité.

Sourcier cela se travaille constamment et énormément. Chaque recherche est différente tant sur les ressentis que sur la géologie qui joue un rôle majeur.
Un métier où l’humilité est un fil d’Ariane et où la remise en question ne doit pas faire peur.